Critiques Séries : Marvel’s The Punisher. Saison 1. Episode 6.

Critiques Séries : Marvel’s The Punisher. Saison 1. Episode 6.

Marvel’s The Punisher // Saison 1. Episode 6. The Judas Goat.


Quoi de mieux que de bons twists pour nous donner envie de rester dans l’aventure. Mais l’aventure The Punisher n’est pas comme les autres car ce que l’on peut rapidement comprendre au fil des épisodes c’est qu’elle aime bien prendre son temps. Cela ne veut pas dire qu’il ne se passe rien, juste que la série évite le vilain (comme les autres séries de Marvel sur Netflix) afin de remplir l’espace avec des sous intrigues complexes qui vont s’entrecroiser les unes avec les autres de façon étonnante. De ce point de vue là, cela veut clairement dire qu’il se passe plus de choses dans The Punisher que dans n’importe quelle autre série Marvel sur Netflix. Notamment car les autres séries se concentrent peut-être un peu trop sur leurs vilains plutôt que de développer des intrigues parallèles avec ses personnages qui vont apprendre les unes des autres et constituer un tout à la fin. Les intrigues secondaires de The Punisher évoluent alors de façon lente mais pour le meilleur. Frank et Micro continuent de former un duo efficace qui change là aussi de tout ce que l’on a pu voir avant et cet épisode permet réellement de faire avancer l’histoire de façon intelligente. Car tout ce qui se passe dans cet épisode ne vient jamais interrompre l’intrigue principale alors que The Punisher semble créer un tout.

Cet épisode laisse alors la pression redescendre, notamment car la première partie de cet épisode laisse Frank allongé sur un lit en train de se reposer de sa blessure de l’épisode précédent. Mais après la grande bataille dans les bois de « The Gunner », il fallait bien s’attendre à un tel épisode. Il n’y a pas de scènes d’action conventionnelles ici, ce qui n’est pas dérangeant car les dialogues qui viennent les remplacer sont bons. Et les scènes de Frank et Micro continuent de faire évoluer l’intrigue d’une façon ou d’une autre. Lewis découvre que O’Connor a menti sur son service au Vietnam, ce qui rend forcément l’histoire intéressante pour plusieurs raisons. Mais l’intrigue de Lewis n’est pas toujours ce que j’ai préféré dans The Punisher jusqu’à présent non plus. Et puis il y a Billy Russo qui se trouve être en train de travailler avec William Rawlins aka Agent Orange. On ne sait pas encore ce que cela veut dire ni jusqu’où Billy est corrompu mais c’est une jolie révélation qui permet de faire avancer d’autres intrigues pendant que celle de Frank et Micro stagne d’une façon ou d’une autre. Finalement, The Punisher continue de proposer des choses intéressantes et parvient à conserver une certaine forme de rythme qui lui sied bien. Que demander de mieux…

Note : 6/10. En bref, l’histoire continue d’évoluer.

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