CRITIQUE CINÉ : Solo: A Star Wars Story

CRITIQUE CINÉ : Solo: A Star Wars Story

Solo: A Star Wars Story de Ron Howard est un film issu de l'univers narratif de Star Wars, c'est le treizième long-métrage qui n'est pas de la série principale. Sorti en 2018, après Rogue One c’est toujours le dernier film de la saga et il dure 135 minutes. Seront-elles des minutes de plaisir ou de souffrance pour les fans de Star Wars ? Après ma critique de Solo: A Star Wars Story il y a trois ans, j'ai décidé de revoir le film et certaines choses sont ressorties.

Solo: A Star Wars Story, ça raconte quoi ?

Le synopsis du film :

"Embarquez à bord du Faucon Millenium et partez à l’aventure en compagnie du plus célèbre vaurien de la galaxie. Au cours de périlleuses aventures dans les bas-fonds d’un monde criminel, Han Solo va faire la connaissance de son imposant futur copilote Chewbacca et croiser la route du charmant escroc Lando Calrissian… Ce voyage initiatique révélera la personnalité d’un des héros les plus marquants de la saga Star Wars."

On est loin du nanar annoncé avec ce spin-off de Star Wars

Alors que tous les médias annonçaient un naufrage de la saga avec ce film, dans les faits c'est moins vrai. D'abord, l'intrigue, le scénario reste cohérent avec le reste de l'univers Star Wars, en tant que spectateur et même en tant que fan on ne se sent pas perdu ni vraiment déçu. L'ambiance et l'environnement des planètes sont très bien retransmis, on voudrait habiter là-bas. D'ailleurs, le blog de betway.be donne un classement des planètes où vivre dans Star Wars. En fait l'histoire n'est pas très surprenante, les rebondissements non plus mais on passe quand même un agréable moment. Par rapport aux effets spéciaux, au montage et plus généralement à la technique, tout est correct, Solo: A Star Wars Story est très bien réalisé et on est plongé dans le film, même si cela peut manquer de prise de risque à la fin.

Un jeu d'acteur qui manque parfois pour en faire un chef-d’œuvre

Ce qui manque à certains moments, c'est le jeu des acteurs. Pour la première fois, Han Solo n'est pas incarné par Harison Fort mais part Alden Ehrenreich, ce qui change évidemment notre a priori sur la véracité du personnage. Alors on peut s'accorder à dire (et c'est ce qu'on fait plusieurs médias) que le jeu des différents acteurs de Solo: A Star Wars Story peu laisser à désirer. Mais en prenant du recul, peut-être qu'à l'époque le jeu des acteurs originels, qui ont joué dans les premiers films réalisés par George Lucas n'étaient pas si bons. Ce qu'on a devant nos yeux, c'est peut-être un filtre de nostalgie qui fait que lorsqu'on remplace nos acteurs fétiches, on a l'impression d'avoir un film dénaturé, artificiel.

Cela est rattrapé comme abordé précédemment par l'aspect visuel de Solo: A Star Wars Story, qui est assez bluffant de réalisme. En fait, on peut considérer ce film, ce spin-off, comme un bon film qui fera rêver encore les fans de la saga et qui permettra aux néophytes de découvrir un peu plus la série et pour peut-être passer aux autres films par la suite. Les surprises, si elles ne sont pas intenses, sont présentes et c'est le principal.

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