Chuck // Saison 4. Episode 12. Chuck vs The Gobbler.

Oubliée l'émotion de l'épisode précédent, nous voici en face d'un épisode tout simplement drôle. Retour de l'humour de Chuck malgré ces temps difficiles pour le personnage et sa relation avec Sarah tout simplement subjuguée par le fait qu'elle doivent infiltrée Volkov Industries. J'ai donc adoré voir Sarah en bad-ass, cheveux de noirs teintés (un peu à la Angelina Jolie dans Salt) et toute vêtu de cuir. Autant dire qu'elle sait faire plaisir à son public Yvonne Strahovski (enlevez quand même son prénom, vrai tue l'amour).
On suis donc Sarah dans une mission pour prouver qu'elle est bien dans le camp de Volkov. Elle va alors devoir faire sortir un cannibale et ancien garde du corps de Volkov d'une prison de haute sécurité. Elle va demander l'aide de Chuck et sa fine équipe pour créer une diversion. J'ai trouvé toute cette petite histoire assez marrante sur le coup. Aussi bien Chuck qui se fait respecter en prison derrière son physique de gringalet ou encore les petites boutades de derrière. La série a une vraie énergie créatrice au niveau de l'humour. J'adore les petites scènes et les trucs du genre le prénom du bébé de sa soeur ou encore la scène tout simplement géniale avec le tee-shirt de Retour vers le Futur, ou encore Casey qui fait peur à Morgan au sujet de sa fille, …
C'est fou car justement, elle a su sauté d'un épisode extrêmement bon sur le plan émotionnel à quelque chose de totalement barré. L'arrivée de Sarah à Volkov Industries était tout simplement le genre de scène totalement irréalistes que l'on trouve uniquement dans cette série. Il y a un travail que j'apprécie donc énormément et qui est fait avec les personnages. Cette seconde partie de saison s'annonce tout simplement pimentée et aussi piquante que des petites merguez. J'aime bien aussi la relation Chuck et Sarah, canardée par une histoire d'infiltration. Ca pourrait justement permettre des réflexions pour la suite.

Note : 7/10. En bref, un épisode sympa avec l'humour qu'il faut au bon endroit.