10 Janvier 2011
Desperate Housewives // Saison 7. Episode 12. Where Do I Belong ?.
Après l'épisode injurié de la semaine dernière, voilà pour moi un sommet d'excellence. Non, je rigole pas en citant ces deux mots, entre dialogues finement écrits et des actrices au sommet de l'humour et du drama de la série, j'ai pris un plaisir fou à voir cet épisode, comme rarement depuis quelques années. C'était propret, soigné, beau, scintillant et éclatant. Rien que le living roof de Bree, briqué aux 4 nuisettes pourrait en rougir. Je ne sais pas qui a écrit l'épisode mais si c'est Marc Cherry, il prouve qu'il a vraiment du talent pour écrire.
Ainsi, les intrigues étaient savoureuses et je commence par Lynette. L'ouverture de l'épisode était sous tous rapports tout simplement géniale. J'ai rigoler à gorge déployée comme je crois rarement avoir fait dans cette saison. C'était si bien trouvé la vengeance de Lynette que l'on avait tous vu nul à chier (passez moi l'expression) dans l'épisode précédent. Là c'était bien trouvé et je suis donc encore une fois sous le charme. Comme quoi, le charme entre Desperate Housewives n'a été rompu qu'un seul épisode. Lynette était au sommet de son humour cachottier. D'ailleurs la scène où elle prépare un gâteau était parfaite. Entre la musique, le côté Et Dieu Créa la Femme, tout était parfait. J'ai même retrouvé un peu de cette saveur vanillée qu'il y a dans les desserts.
Totalement bonne, on avait aussi Susan. Je sais pas mais le retour de sa mère m'a fait plané. Ce personnage de folle-dingo. Je me souviens de son mariage en saison 2 avec son Marty, c'était drôle et décalé. Et là, on remet le couvert. On avait tout ce qu'il fallait et même du drama, pour combler le tout. D'ailleurs, avec Teri Hatcher ce coup ci, ça fonctionnait à rantanplan. J'étais donc pas en mode marche arrière avec le personnage, comme le fût l'épisode précédent, totalement dénué de sens et d'intérêt. Non, cette fois, avec le retour de sa fille Julie et de sa mère, j'ai trouvé que la personnage revivait. De plus, Mike était pour ainsi dire, absent de ce bon épisode. Tant mieux.
Bien sûr, tout ça sans une dose de Bree qui veut aider la pauvre mère Théresa qu'est la femme de Paul Young. Elle veut qu'elle arrête d'être persécuter. Cela donne une très bonne scène à la fin de l'épisode avec Bree et les autres. C'était à l'ancienne, on papotte entre copine et bam !, l'arrivée du fameux pistolet qui a servi a tiré sur Paul. On accuse Bree, enfin, la femme de Paul accuse Bree. Même si on sait qui a fait quoi, je dois l'avouer, c'était drôle et sympathique. Disons que c'était pas ennuyant pour un sou pour une fois que Bree me saoule pas avec ses changements de jardinières.
Et enfin la petite Gaby. Elle roucoule comme un oiseau non ? Et bien non. Son histoire de poupée était pas si mauvaise au final. Enfin, je pars vite en besogne. Pardonnez moi. Le petit monologue de Gaby émouvant m'a peut être pas fait pleurer mais j'ai trouvé que c'était sympathique. Ca décroche pas la lune mais je demande pas la lune à Desperate Housewives non plus. C'est une série dont je suis amoureux et cet épisode m'a tapé dans le coeur, tel la la flèche de Cupidon. J'aime cette série et quand elle fait des épisodes comme ça, je ne peux que l'aimer. Alors certes c'est moins bien qu'avant me direz vous mais qu'importe, la flamme est toujours là chez moi.
Note : 8/10. En bref, un épisode drôle, fun et avec un cliffangher tout à fait remarquable et inopiné. Génial.
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