Critiques Séries : Doctor Who. Saison 5. Episodes 12 et 13. S. FINALE.

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Doctor Who // Saison 5. Episodes 12 et 13. The Pandorica Opens - Part 1 / The Big Bang - Part 2

SEASON FINALE


Les gens peuvent dire autant de mal qu'ils veulent de Steven Moffat, moi je peux pas. Ce double épisode était tout ce que j'adore dans Doctor Who et on n'a même pas le temps de s'ennuyé une seule seconde. Je crois que l'histoire de ces fissures temporelles était finalement bonne. La fin est bien fichue et elle ne prend pas la tangente au moindre petit détail qui fait que l'on pourrait se dire : ah, il a écrit un truc trop facile en fait. Non, il reste sur ses positions tout au long de l'épisode.

vlcsnap-2011-01-01-17h24m34s152.pngOui, on se perd parfois même dans le déroulement de ces deux épisodes. Où sommes nous et pourquoi ? J'ai adoré l'ouverture du premier épisode qui revenait sur les évènements de la saison en générale et bien sûr le retour des créatures que l'on a pu voir cette saison. C'était justement bien trouvé et l'on garde une vrais constante de vouloir clôturer la saison en beauté non ? C'est pour moi le cas, un vrai feu d'artifice.
Ainsi, je trouve que le Doctor Who termine une saison presque d'essai avec un nouveau Docteur à merveille. Matt Smith fait une nouvelle fois le show. Quand il part dans ses délires avec le personnage c'est presque aussi mythique que la série en elle même. Il y a une sorte de vraie petite révélation dans le jeu de l'acteur que j'adore. Sans parler des dialogues savoureux de Steven Moffat pour cet épisode. Que demander de plus non ?

vlcsnap-2011-01-01-19h09m57s148.pngEh bien Amy. Elle prend une vraie importance dans ce double épisode quand elle doit tenter de sauver le Docteur par exemple ou encore la scène de retrouvailles entre elle et Rory. C'était presque si touchant sans parler des larmes perlées sur son visage lorsqu'elle annonce "I'm happy". C'était jolie et mignon. A l'image même du personnage et de la saison en elle même.
La Pandorica, cette grosse boîte mystérieuse a donner quelques bons passages aux deux épisodes. Elle permet de gagner en mythologie et en mystère avec bien sûr la révélation qu'elle servira aux peuples d'éviter les fissures en y enfermant le Docteur. Cet épisode était vraiment rythmé, j'ai pas eu de mal avec aucune intrigue et pourtant, cela aurait pu sur le milieu de l'épisode mais il n'en ai rien.

vlcsnap-2011-01-01-19h12m13s229.pngEt les dix dernières minutes de la fin, c'était génial. Entre le côté futile de la danse de Matt Smith ou encore les larmes d'Amy sur "Something old, something new, something borrowed, something blue" c'était si jolie. Je trouve que le grain de folie de Steven Moffat était tout au long de l'épisode présent, comme une sorte d'âme qui rode autour de ce qui est encore vivant. Parfait. Oui, un épisode double, parfait de Doctor Who. Je me lasserais jamais de cette série, c'est certain.

Note : 10/10. En bref, un double épisode écrit par l'un des meilleurs scénaristes de la série avec tout ce qu'il fallait pour me séduire.

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<br /> <br /> Une très bonne critique pour un excellent épisode ! 10/10 mérité !<br /> <br /> <br /> <br />
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