26 Janvier 2011
Hellcats // Saison 1. Episode 12. Papa, oh Papa.
En voilà un épisode très drôle. Je sais pas si c'est dû au fait que les Hellcats sautaient dans tous les sens (attention au contre sens) ou autre mais j'ai trouvé cet épisode tout simplement humoristique. C'est peut être dû à tous les sentiments aux ficelles trop courtes, aux uniformes des Hellcats salutairement dénudés ou encore au jeu de Uno sorti à la fin de l'épisode mais en tout cas, on peut dire que la série en tient vraiment une couche et c'est ça qui fait qu'au final, la bonne crise de rire passée devant cet épisode était quelque chose de mémorable.
Tout d'abord Savannah et Marty. Elles peuvent plus s'encadrer alors qu'elles vont aux Sectionnals, tout ça à cause d'un Dan, d'un blondinet qui lui a brisé le coeur avec une révélation. Que c'est pathétique mais qu'importe, la Savannah méchante (elle tente de l'être, elle est drôle comme ça), qui sort ses griffe de lionnes pour mieux enfourner Marty et lui éviter de faire des sauts sur le tatami, elle en profite. Elle doit pas trop aimer voir les gens sauter ensemble, elle voulait être en être.
Tout proportion gardé, l'intrigue d'Alice gagne vraiment le ridicule ou la palme de ce que vous voulez. Déjà son père fait une apparition avec une jeunette de son âge qui se révèle être à la fin un amour de crème à tout ce qu'on veut, comme un peu une mère poule et le père absent, le cliché fréquent dans les séries de ce genre. Ridicule oui ? Un vrai cyprès cet intrigue, pas plus haute que trois pommes et même assez risible et ridicule. Peut être que c'est la tête d'Alice. Son plan machiavélique pour faire tomber Marty puis Savannah aurait pu être drôle si seulement elle n'était pas aussi mauvaise. Je comprends pourquoi elle et l'autre ça n'a pas fonctionné, elle doit être un peu mauvaise à certaines choses.
Mais voilà, cet épisode gagne en maturité (ou pas) avec une bonne grosse bataille de polochons entre Savannah et Marty. Qu'est ce que j'ai rigolé, au moins autant que ces deux bécasses réunies. Non mais franchement, c'était marrant. Je crois que la série assume vraiment son côté ridicule des fois et c'est ça qui fait que ça colle en fait. Bien sûr, on a aussi les figures (dont celle en étoile aux Sectionnals qui mériterait une récompense de celle qui m'aura fait le plus rire) de cheerleading, vraiment drôle. Je crois qu'on doit bien se poiler devant ce genre de compétition en fait, ça à l'air tellement ridicule que j'en ai le vertige.
Et enfin cet étalage de bons sentiments. Ca pu la laine mal rincée et le ça a le côté rêche d'une pierre mais qu'importe, ça m'emporte. Oui, avec les petites musiques de fond (pour vendre des BO Hellcats aux "Cheer Town" en manque de bonnes musiques dans tous les Etats-Unis) ça fond en larme. Quand Alice se rebelle devant son père, mon dieu que j'ai adoré ou encore la dernière image avec le jeu de Uno. Mythique je vous dit, mythique.
Note : 4.5/10. En bref, c'était sympa et surtout avec l'humour qui est mis dans les étalages mélodramatique insoutenable, ça fonctionne.
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