Lie to Me // Saison 3. Episode 2. The Royal We.

Totalement dispensable, cet épisode ne tiens que de Tim Roth et encore. L'intrigue de ce nouvel épisode se place dans un concours de beauté. Le Lightman Group est engagé pour savoir si les filles sont gentilles (qu'elle ne se drogue pas et qu'elle n'ont pas fait de chirurgie esthétique) sauf que Lightman va découvrir le cas d'une fille, psychotique qui par manque d'affection, va accusé un père d'une autre candidat de l'avoir frappé.
C'était nul. Cette intrigue était ronronnante et j'en viens à regretter le FBI et le très ennuyant Mekhi Pfifer. Non mais sérieux quoi. Quand dans l'épisode précédent on nous livrait quelque chose de substantiel avec de l'action et du rythme, là c'est ronflons à gogo. Je ne sais pas ce que les scénaristes ont voulu faire d'une idée aussi bancale mais en tout cas ça ne prend pas du tout avec moi et j'ai bien peur que ce soit le cas de millions de téléspectateurs. Seul Tim Roth sauve la partie, mais c'était pas gagné.
Car oui, Tim Roth et son air totalement décontracté, en panne d'écriture de son roman qui nous la joue nonchalant. Il est génial dans ce rôle mais le problème c'est que les scénaristes ont servi la soupe avec son rôle. Ce n'était donc pas les petits nouveaux qui allaient sauvé le tout, bien au contraire, les deux nouveaux ne servent qu'à boucher les trous et tenter de nous montrer autre chose. Sans parler du job que Locker vient d'empocher au Pentagone. Je crois vraiment que cette série manquait d'entrain dans cet épisode.

Note : 3/10. En bref, un mauvais épisode sauvé par Tim Roth himself.