Alors là, on rit, on rit et on oublie de faire la critique de l'épisode. Faisons contre à chaque fois le bilan par situation de famille. Tout d'abord la famille recomposée avec Ed O'Neill. Alors que Jay ramène de Las Vegas un chien humanisé majordome, c'est pas une vraie personne c'est une sorte de statue. Alors qu'on adore l'accent espagnole de Gloria qui a peur à chaque fois qu'elle rentre chez elle c'est vraiment mythique. Cette situation est tout simplement un délice qui se mange comme un bon cake à la banane, me demandez pas pourquoi un cake à la banane, c'est le première non de gâteau qui m'est venu à la bouche. Ensuite, au tour de notre couple gay et là, il faut encore le dire, c'est une situation grosse comme une maison et adorable. Quand on voit Cameron qui accueille son jardinier mexicain chez lui alors qu'il est entrain de pleuré et l'appelle Cesar Salad, franchement, on ne pouvait pas trouver mieux. Ce couple est un plus que jamais excellent et loin des clichés, j'adore. Et enfin, c'est au tour de notre couple laxiste, avec une Julie Bowen ras le bol et un Phil qui fait encore ses siennes avec une histoire de photo cochonne sur un tracteur. Je ne vais pas vous raconter les détails de la photo, je crois qu'ils sont assez expliquer dans l'épisode mais cette leçon de morale sur la pornographie, franchement, c'est simpliste mais alors adorable.

Note : 10/10. En bref, encore un épisode qui m'a étonné par son excellence. Une série qui n'a plus à démontrer son extrême gentillesse et bonté, on est encore sous le charme. LA meilleure sitcom de la décennie.