Critiques Séries : The Office. Saison 8. Episode 6. Doomsday.

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The Office // Saison 8. Episode 6. Doomsday.


Je connais The Office depuis janvier et pourtant j'ai déjà l'impression de la chérir depuis des années. C'est un sentiment vraiment intéressant et surtout très bizarre à la fois. Mais je le prend comme quelque chose de bien. En tout cas j'adore les personnages de la série et même si Robert California n'arrive pas à être aussi drôle que pouvait l'être Michael Scott - même chose pour Andy finalement -, il a apporté un petit truc en place à la série. Ce que je trouve de magique avec ce personnage c'est qu'il prend tout le monde à Dunder Mifflin Scranton pour des idiots et les employés acquiesces sans même le savoir. J'adore. Le ton que le personnage prend, notamment quand Dwight va se mettre à écouter une conversation entre lui et Andy, et encore mieux : la partie de squash avec Jim. Je m'attendais pas du tout à rire en fait avec cette histoire mais finalement j'y suis parvenu. Sans compter que Jim, à défaut d'être le personnage le plus drôle de la série il est certainement l'un des plus sincère. Donc c'est intéressant de le voir dans ce genre de position où il met sa sincérité en péril : tentant d'avoir les bonnes grâces de Robert California.

Afin d'aider tout le monde a être plus efficace au bureau, Dwight installe une machine, une "Doomsday machine" - et imaginez comment j'ai pensé à Fringe en entendant ça - qui va contrôler les employés et seront tous virés si jamais ils font trop d'erreur. Dwight manipule très bien les personnages de la série, et avec cette machine cela permet de lui donner un intérêt tout particulier. D'ailleurs, j'ai beaucoup ri grâce à lui dans "Doomsday" et j'ai tellement hâte de le retrouver dans le prochain épisode. Ce qui me manque avec Dwight c'est quand il faisait le larbin de Michael Scott ou encore qu'il tentait des plans machiavélique contre lui afin d'asseoir son autorité. C'était drôle. Dommage que ceci n'est plus - sachez qu'à cet instant j'ai encore la voix de Steve Carrell dans la tête, entrain de dire "Oh god"-. Toute la partie de l'épisode centrée sur Darryl était cependant pas intéressante du tout. Disons que s'intéresser aux employés de l'entrepôt n'est pas la meilleure idée qu'il soit. Loin de là.
vlcsnap-2011-11-05-14h57m17s0.pngKevin est toujours un atout comique de cette saison. Je ne sais pas comment c'est possible mais j'ai l'impression de ne retenir que ses passages, et ils sont drôles, très drôles. Cette fois il s'est donné comme tâche à faire de trouver d'où vient le papier. Et sa réponse est sans appelle l'une des plus drôle de l'histoire du personnage et de la télévision américaine : "The man tree puts his penis…". L'explication je l'attendais pas et pourtant on peut tout attendre de ce genre de personnages. Le pré-générique de l'épisode est efficace, Andy chantant la chanson de la fin de la journée de travail. Forcément Stanley est content de rentrer chez lui - j'adore d'ailleurs ce côté un peu lunatique du personnage qui est content dès que le travail est fini et bougon quand il est derrière son bureau - et surtout cette chanson devient logiquement sa chanson préférée. Au final, ce nouvel épisode trouve une bonne dynamique, moins enfantine que les débuts de cette saison - et notamment l'épisode d'Halloween -.

Note : 7.5/10. En bref, un épisode bien sympathique qui permet de mettre tout l'humour de Dwight en une seule intrigue. Parfait.

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