The Walking Dead // Saison 1. Episode 5. Wildfire.

Après le gros cliffangher laissé dans l'épisode précédent, je m'attendais donc à quelque chose d'excellent, à un épisode qui pour une fois pourrais me satisfaire mais au final, non. Entre le côté pompé à Survivors et le début de l'épisode émouvant mais d'un ennui total : on se concentre sur des futilités d'une aigreur sans nom. Ainsi, ce dernier épisode de Walking Dead a vraiment une saveur de non réussite et dire que c'était LA nouveauté la plus attendue. Je crois que soit je suis passer à côté de la signification soit j'ai totalement raison.
Je vais débuter par la première partie de l'épisode, le deuil. Alors certes, ça fait partie d'une logique dans une série comme ça mais il ne faut pas perdre son temps là dessus, car c'est totalement inapproprié quand une saison dure seulement 6 épisodes, là où il faut garder le téléspectateur en haleine. Et bien là, c'était pas du tout le cas, on mets des tas de minutes pour tenter de trouver un lieu sûr. Voilà, je trouve que c'était d'un ronpichard et d'un mauvais goût cette première partie. Walking Dead n'avait donc pas d'idée, ils ont meublés.
La seconde partie de l'épisode est bien meilleure mais voilà, c'est pompé sur Survivors (une excellente série britannique d'anticipation). Entre les survivants dans un camping car qui vont tenter de trouver un peu de "rêve" et un lieu sûr avec le CDC, sans parler des essais en laboratoire. Je vois que la série n'est clairement pas très inspirée et qu'elle jette sa meilleure idée au 5ème épisode. Donc le rythme est là, le mystère de savoir qui est cet homme, semblant être le seul survivant, et bien sûr l'arrivée de nos personnages.
Walking Dead lance donc les bonnes idées vers la fin, c'est très laid de leur part. L'idée du calme avant la tempête, ça aurait pu être bien si seulement il y avait une vraie cohérence dans le scénario mis à part le fait "ce lieu n'est pas sûr, il faut trouver un autre endroit". Déçu jusqu'à l'os que je suis, ce nouvel épisode montre encore une fois toute l'épaisseur de gras que peut avoir une série de ce genre.

Note : 5/10. En bref, une partie vaut 1, l'autre 9. On fait la moyenne.