28 Août 2010
Covert Affairs // Saison 1. Episode 5. In the Light.
C'est sûrement le meilleur épisode de la série depuis le pilote. Et voilà l'épisode qui nous introduit Henry Wilcox, le personnage joué par Gregory Itzin (jouant le président Logan dans 24) que j'adore. Bref, je me devais de commencer sur cette excellente note pour ma critique de ce nouvel épisode. Car l'intrigue en elle même, n'est pas la meilleure que j'ai pu avoir à me mettre sous la dent. Bref, l'épisode était correct et dans la lignée de ce que sait faire la série de mieux : du Alias sans mythologie et beaucoup moins sombre.
En voilà une idée, faire une série qui pétille de milles feux et qui fait passer la CIA pour le trésor du monde. Dans cette nouvelle intrigue on commence à voir les faiblesses de la série car quand même : on envoie une petite "rookie" sur le terrain dans des affaires qui devraient être confiées à des gens plus qualifiés et avec plus d'ancienneté. Alors, certes c'est assez bien justifier, ils font avec les moyens du bord mais ça peine en crédibilité. Pour le côté divertissement la série est cependant là. En effet, ici, la CIA doit retrouver un vendeur d'arme qui arrive bientôt sur le sol américain. Notre très belle Annie Walker doit tenter de le retrouver grâce à un ancien agent de la CIA afin qu'il la mette en contact avec un informateur.
Entre humour et divertissement pur jus, la série arrive à sortir des sentiers battus. Si ça ne casse pas trois pattes à un canard, c'est sympathique et Eriq La Salle en guest star, sans compter celle de Gregory Itzin, l'épisode est solide pour ses personnages. D'un côté Eriq, l'ancien agent de la CIA, qui pourrait devenir une sorte de modèle pour Annie et de l'autre, l'ancien directeur véreux de la CIA Henry Wilcox joué par Gregory, le monsieur pour qui il faut se salir les mains. Enfin, on nous fait avancer (ou pas) de Ben Mercer, cet ex d'Annie qu'elle avait rencontrer sur une île des Bahamas, dont on avait eu droit des flashback kitch et plus drôle qu'émouvants. Ca reste assez statique et j'ai bien du mal a m'attacher au personnage. P.S : j'adore le générique si kitch de la série.
Note : 7/10. En bref, la série gagne des points dans mon estime au fur et à mesure. Merci Annie Walker.
Covert Affairs // Saison 1. Episode 6. Houses of the Holly.
Un épisode correct, sympathique, tout ce qu'on veut mais seulement divertissant. En effet, je me suis pas ennuyé une seule seconde et Annie est sur tous les fronts : entre une affaire de taupe au sein du gouvernement (qui envoie des informations à un pays ennemis alors que des agents sont sur le terrain là bas, d'ailleurs des amis et anciens collègues d'Auggie) et les mensonges du mari de sa soeur. Ici pas de grosses cascades qu'on a du mal à croire, non, on reste le plus simplement du monde au niveau de la terre. C'est l'un des points fort de l'épisode.
Je commence a aimé de plus en plus Annie et donc Piper Perabo par la même occasion que je n'avais jamais vraiment eu le temps de voir au cinéma ou dans une série. Dans cet épisode elle en impose par sa présence, on sent qu'au bureau elle se fait une place (notamment grâce à cette affaire, elle n'est plus obligée de servir le café). Son personnage est d'une fraîcheur et d'une superbe inégalé. Alors certes, la série reste bon enfant et après ce qu'elle place dans l'épisode précédent, on pouvait s'attendre à plus, de la conspiration au sein de la CIA avec Henry Wilcox, je ne sais trop quoi d'autre. Mais ma foi, je suis content de la tournure des événements.
Le problème de l'épisode réside en Auggie qui au final n'apporte rien et en plus, il est ennuyant. Sa storyline instauré dans l'épisode est d'une nullité sans nom. Je me suis presque endormi avant qu'Annie ne vienne égayé mes pupilles. La série ne perd pas non plus son côté humour quand Annie tente d'approcher cette assistante un peu noeud noeud qui aime faire de l'aviron sur Columbia, ce fleuve Washington-ien des plus connus. Mais Annie a aussi droit à son ridicule dans cet épisode avec la storyline du mari de sa soeur. J'ai tout simplement trouvé ça ridicule et prévisible, bref, j'en suis pas fan. Ainsi, Covert Affairs, je ne dirais pas que je suis un fan accompli mais j'apprécie de plus en plus.
Note : 7/10. En bref, un épisode vraiment satisfaisant. La série peut faire les choses bien malgré son faible budget flagrant.
Retrouvez également mes autres critiques de Covert Affairs : Cliquez ici.
Retrouvez sur mon blog des critiques de cinéma et de séries télé du monde entier tous les jours
Voir le profil de delromainzika sur le portail Overblog