Critiques Séries : Huge. Saison 1. Episodes 8 et 9.

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Huge // Saison 1. Episode 8. Birthdays.

 

Voilà, Huge nous livrais avec cet épisode, certainement son meilleur épisode depuis le pilote. Je l'ai trouvé à la hauteur de ce que la série peut nous offrir en terme de drama. Si l'humour lâche laisse place à du bonheur pétillant et des bulles en plein coeur, j'adopte. La série m'a complètement fait fondre avec cet épisode, sur fond d'anniversaire, de sentiments et de tolérance.
Car oui, la foi de la série c'est la tolérance. Cette fois entre l'amour impossible entre une mineur et un adulte se pose, comme la question de l'acceptation de l'homosexualité chez Alistair au détour d'un jeu dans les bois. Car dans cet épisode c'est l'anniversaire des deux jumeaux : Alistair et Chloe. Pour cela, petite faite, jeux et soirées sont organisés. Une idée qui n'est pas tombé dans la flotte vu que l'épisode est bien fait pour une fois, et ça me manquait. J'avais peur que la série ne sache pas gérer les bons sentiments, avec la houle de ses vagues de pleures et de complaintes mais non, au final, ça fonctionne cette fois.
Alors, au détour d'un jeu de bouteille, Chloe et Amber se retrouvent à devoir s'embrasser devant les quelques membres du groupe qui s'étaient tous réunit dans les bois faire fêter l'anniversaire de Chloe. Sauf que Chloe ne le sentait pas comme ça et pour prendre sa revanche sur Piz qui devra en échange embrassé un mec. Sauf que ce que Chloe ne sait pas c'est que les autres ont décidés que ce mec ce serait le frère de Chloe : Alistair. J'ai trouvé que c'était d'un mauvais goût quand même, le pauvre qui se retrouve devant le faite accompli, se faire embrassé pour rire et s'amuser, pour un jeu en sachant que c'était sa première fois. Ainsi, c'était pour moi le meilleur épisode de la série depuis le pilote, le pathos a brillé pour une fois et sa tolérance était de mise.
Car au final la série porte sur ce même sujet, s'accepter comme on est alors voilà, la scène d'ouverture avec George ou la scène finale, ou encore le Dr Rand avec son handyman dégustant du poulet frit dans la voiture et cette relation naissante entre eux deux. En bref, un bel épisode qui malgré son côté rebutant pour les plus anti-miel dans les séries, c'est quand même sympathique à suivre.

Note : 7.5/10. En bref, un bel épisode mielleux qui prouve qu'on peut faire bien comme ça.

 

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Huge // Saison 1. Episode 9. Parent's Week-End, Part 1.

 

Je vais finir frustrer. En effet, cet épisode se termine sur un "à suivre". Je ne suis pas patient certes mais ce n'est pas une raison, même pas une petite idée de ce à quoi va ressembler le season (ou series) finale. Bref, cet épisode prenait les belles résolutions du précédents pour faire de cet épisode un épisode sympathique à suivre et émouvant ou drôle. Tout les ingrédients étaient réunit pour en faire un bon mix final.
Et c'était assez drôle à certains moments. Je crois que j'adore la mère d'Amber. Rien que le moment où elle explique qu'elle a l'utérus de travers c'était un pur moment de rire. Amber, toute gêner face à une mère dont elle a honte au final. Et c'est bien ce que l'on découvre à la fin de l'épisode quand sa mère fait son caprice pour rester dormir dans le dortoir des filles. J'étais presque tomber de mon fauteuil la première fois mais là, la mère dont tout le monde peut avoir honte. Je sais pas pourquoi mais je sais que Amber, celle qui était fière d'être la plus mince du groupe, va prendre du poids dans la suite comme le laisse penser le "to be continued" où Amber va voir Will pour des sucreries.
Will tient qui d'ailleurs dans l'épisode n'occupe pas un grand rôle. Normal, ses parents n'ont pas voulu venir. Je la plaint quand même car ce n'est pas une belle preuve d'amour de la part de ses parents que de voir qu'elle a perdue du poids, qu'ils soient fier d'elle. Et enfin, la famille atypique d'Alistair qui fait croire qu'il est avec Riley (pour cacher son homosexualité à ses parents) et Chloe qui a peur de ne pas être à sa place mais qui est malgré tout contente de retrouver ses parents. Des parents que j'aime pas trop personnellement, sans parler de ceux de Dante ou encore de Ian. Non franchement, ces parents, y'a aussi bien de quoi avoir honte qu'avoir envie de se cacher. J'ai finalement bien rigolé et trouvé certains moments assez émouvant. La série arrive à sortir dans le fourrage dans lequel elle s'était réfugier pour nous donner quelque chose d'intéressant, pas forcément de quoi sauter au plafond mais quand même sympathique à suivre.

Note : 7/10. En bref, pas ce que j'aurais penser forcément mais assez captivant pour donner envie de voir le final.

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