15 Septembre 2010
Parenthood // Saison 2. Episode 1. I Hear You, I See You.
SEASON PREMIERE.
La série de l'an dernier, cette série familiale qui dépeint les aventures d'une famille : les Braverman. Ca ressemblait beaucoup dans l'idée à Brothers & Sisters et au final, dès le pilote on sent qu'il n'y a rien de semblable, que Parenthood est une belle série qui reste assez proche du film de Ron Howard du même nom avec un casting aux milles couleurs. Alors, ce season 2 premiere reprend le cour de la vie de la série, en le regardant j'ai même eu l'impression qu'on était toujours dans la saison 1, je n'ai pas ressenti de vrai conclusion à la fin de la saison 1 et encore moins une ouverture dans la saison 2. Des intrigues sont lancées certes mais pas de quoi fouetter un chat. Au final, ce début de saison est charmeur et trompeur mais que j'adore les Braverman.
Tout en finesse, curiosité et légèreté, la saison s'ouvre simplement sans en faire des tonnes à grand renfort de nouveautés. On ne noie pas le téléspectateur dans des intrigues trop facilement manipulables. Mon moment préféré de l'épisode c'est Joel et Julia qui ont une discussion sur comment on fait les bébés avec leur fille. C'est toujours une question difficile a élucidé pour les parents mais une question à laquelle il faut savoir répondre avec franchise au risque de nous la jouer Porter dans Desperate Housewives (on se souvient de l'horreur que cette intrigue avait été dans la saison 3). Bref, la jeune fille était assez drôle dans ses réponses aux allégations des parents : "Dad, you brough the fertilizer ?... But how did you get the fertilizer into the egg ?". Cette phrase m'a fait éclater de rire. Ils ont une imagination les enfants. Bref, de l'autre, Crosby est éloigné de sa Jasmine et de son Jabbar adoré, Jabbar qui devait avoir une sleep-over chez Max. Entre scènes via Skype, on adhère ou pas mais la petite citation de Crosby : "Are we about to have Skype sex ?" était un plaisir en soi.
Pour le reste, on découvre le patron d'Adam (Peter Krause) sous les traits du pire acteur du moment : William Baldwin. Je ne préfère pas trop me prononcer sur lui ne sachant pas l'étendu de ses abilités dans son rôle mais en tout cas, dans tout l'épisode il sert simplement de présentoir au très beau et magnifique, même magique (j'y vais fort pour faire moi aussi la même chose) iPad d'Apple. Je ne sais pas trop mais en tout cas c'était flagrant et peut importe, le personnage n'est pour le moment pas intéressant mais l'arrivée de Sarah, engagée par Adam, au bureau risque de faire des merveilles. J'attends vraiment de voir ce que va donner cette relation frères et soeurs travaillant ensemble. Une Sarah que j'ai encore une fois adorée. Je sais pas, ce personnage est tout ce qu'il y a de plus jovial, convivial et libre. J'aime beaucoup. Lauren Graham y est pour beaucoup, je l'accorde.
Et vient ensuite l'intrigue d'Haddie qui apprend a conduire avec sa mère. C'était drôle un moment mais Monica Potter en hystérique c'est passable quand même je trouve. Ainsi, la mère s'énerve, le coup classique, elle casse un rétroviseur, etc... s'en suit les excuses et tout le monde va bien, c'est le principal. Disons que je n'ai pas totalement adhérer. Reste ainsi le père Braverman qui tente de faire quelques réparations. Bref, beaucoup de bruit pour rien. L'intrigue était pas assez intéressantes surtout voir sur quoi elle débouche. A suivre... Ainsi, ce season premiere était satisfaisant, j'ai retrouvé des personnages qui n'ont pas changés.
Note : 7/10. En bref, Parenthood est ce genre de série avec un casting excellent et aux bonnes intrigues. A quand le faux pas ?
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