19 Septembre 2010
Rubicon // Saison 1. Episode 8. Caught in the Suck.
Le mystère s'épaissit. En effet, la série prend de plus en plus de sens et les pièces du puzzle semble s'imbriquer. D'un côté l'épisode délocalise Miles et Tanya dans un pays dont ils ne savent rien, au sein d'une base secrète de la CIA où des interrogatoires ont lieux pour soutirer des informations et de l'autre, Will qui enquête un peu plus sur Atlas McDowell. C'était assez bien construit entre les deux parties et puis le plus important provient des personnages qui sont simplement géniaux dans cette série.
Tout d'abord Miles et Tanya. J'aime beaucoup Miles, son côté débraillé, celui qui est dans la lune est tellement drôle et compatissant que je trouve le personnage attachant. Rien que dans l'épisode précédent il y était à son apogée, cette semaine on retournait à quelques chose de plus conventionnel. Et cette partie avec Tanya (j'ai adoré la partie dans les toilettes de l'API où elle se change, prête à complètement changer de personnalité presque, elle qui fait garçon manquée et qui s'habille en femme) qui se termine plutôt pas trop mal.
Pour ce qui est de Will. Ses enquêtes le mène vers Citizens Institute, une sorte d'entreprise qui cache pas mal de choses dont des secrets. Ses membres sont assez importants dans leurs responsabilités et Spangler semble en faire partie. Son enquête sur Atlas McDowell avance même si toutes les pièces ne sont pas là et bien sûr a commencé par Kale qui semble être un tourne bourrique. Il ne veut pas trop en dire, il cache pas mal de choses à Will dont cette histoire avec Maggie qu'il utilise comme indic sur Will. Cependant, quand on y regarde a deux fois, on voit bien que Kale est le seul personnage qui semble aidé Will et qui puisse le faire en tout cas. Cette intrigue est assez frustrante car elle n'avait pas tellement et c'est bien dommage mais la frustration fait avancer les choses et nous permet d'encore plus nous ronger les ongles de connaître la suite.
Note : 8/10. En bref, après le magnifique épisode précédent, celui ci réutilise le classicisme de la série avec facilité et aisance sans se heurté aux problèmes d'une histoire stagnante.
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