1 Mai 2010
Smallville // Saison 9. Episode 18. Charade.
Encore du très très bon Smallville. Merci CW, je crois que c'est la première fois que je dis ça mais là, c'est mérité. Rien que la première minute de l'épisode (sans le previewsly) était géniale. J'ai cru assister à une autre série parfois mais ce n'était que pour de bonnes, de très bonnes raisons.
Tout d'abord, donner à Metropolis une autre ambiance, une ambiance un peu désuette. Et alors le moment où l'on se retrouve dans cette arrière salle d'une soirée VIP, whoua ! Jusqu'à Loïs qui sort du gâteau en passant par ce beau coup de poing dans le visage. J'adore. Loïs est certainement LE personnage de l'épisode que j'ai vraiment le plus adoré. Le tout dans ces décors qui n'ont finalement plus l'apparence du Metropolis que l'on voit tout le temps : cette rue unique avec son café et ses mail box, c'est redondant. Là, on invente, on sort un peu de l'ordinaire. Merci Smallville.
Ensuite, on poursuit cette histoire de Superman dans le fond de l'épisode. Clark apprend que Loïs avait de conversation avec le Blur (je trouve ce nom ridicule mais bon, c'est encore pire en français et j'aimerais vraiment savoir comment la France a réussit à traduire ça) sauf que le Blur c'est lui. Il découvre donc que Zod est derrière tout ça et qu'il parlait dans le dos de Clark à sa bien aimée Loïs. Ca sent vraiment bon le combat final tout ça.
Puis, Chloé, ca sent la fin du personnage et de toute façon, il n'existe pas dans les comics book donc bon, faut se faire une raison. Si elle meurt, ce qui sera de toute façon plus que certain, je sens que ce sera très émouvant.
Enfin, Mais qui est la Red Queen alors ? Et bien si vous ne voulez pas le savoir ne lisez pas la suite et passez directement à la note de l'épisode. La Red Queen c'est une personne que l'on connaît depuis le début de la série et c'est donc Martha Kent qui fait tout pour protéger le secret de son fils face à Checkmate, cette agence gouvernementale dont elle fait partie pour justement mieux protégé son fils.
Note : 10/10. En bref, l'un des meilleurs épisodes de cette saison, du grand Smallville, loin de la série pour ado du début des années 2000.
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