Critiques Séries : The Big C. Saison 1. Episode 2. Summer Time.

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The Big C // Saison 1. Episode 2. Summer Time.


Prendre sa vie en main quand on est atteinte d'un cancer et que seul notre médecin le sait, c'est difficile. En tout cas, c'est ce que veux bien nous prouver cette série qui avec ce second épisode, prouve une nouvelle fois qu'elle sait traiter ce sujet avec délicatesse et humour décapant. Cet épisode était encore une fois très bon et comme le pilote, nous sortait sa galerie de personnages géniaux.
The Big C a déjà tout d'une grande série de Showtime. Dans cet épisode, entre discussion autour de l'espérance de vie de Cathy avec son médecin qui l'amène à vouloir garder son fils auprès d'elle pour en profiter le maximum, pendant ce temps le mari veut voir un thérapeute pour leur couple. Alors, la série n'a pas perdue de son mordant avec ce second épisode. Tout simplement car tout reste savoureux, bien fait et on sent les mains pétrir la pâtes encore chaude. Alors oui The Big C c'est une bonne série. Elle a réussit le tour de passer de surclasser Weeds qui la précède aussi bien en audience qu'en qualité alors qu'elle n'est qu'en saison un, que c'est un petit fruit encore vert.
J'ai beaucoup aimé la discussion entre Cathy et le Dr Todd quand elle lui demande si elle en a une belle paire (de seins) et qu'il lui répond qu'elle a un "awesome rack" (autrement dit un beau râtelier), drôle de façon d'appeler une belle paire de sein à mon goût. Cela cause donc un fou rire chez Cathy. Et je ne parlerais pas de cette scène entre Saul et Cathy dans le jardin quand elle lui dit qu'elle a envie de faire l'amour "là derrière". Et lui en tout homme qui se respecte comprend que sa femme veut enfin s'essayer au plaisir anal, au plaisir interdit, au plaisir indélicat sauf qu'elle voulait seulement dire, derrière, au fond du jardin et normalement. Le pauvre, il n'aura pas eu son rêve : le droit de sodomiser sa femme.
Ainsi, The Big C passe trop vite. On ne voit pas le temps passer et c'est bien là le problème. On a toujours une envie débridée d'en avoir plus, ce petit malentendu parfait entre notre cerveau et l'épisode qui défile. Mais bon, l'épisode en lui même offre de bons moments autres que ces petites scènes drôles comme avec son frère le "homeless guy" ou encore Andrea cette fille que j'adore (franchement, je pense que sa volonté de lui faire perdre du poid est une cause perdue) et enfin le fils. Il est sensible malgré tout sous sa carapace de celui qui fait jouer le bad boy.

Note : 8/10. En bref, ne perdant pas la qualité du pilote, la série suit un chemin plus que parfait pour le moment.

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