28 Juillet 2010
The Gates // Saison 1. Episode 5. Repercussions.
Il aura fallu un vide de 3 épisodes pour que The Gates reprenne du poil de la bête. Non, il n'y a pas de superbe allusion avec cette expression vu que les loup garous ne font pas partie de l'histoire de l'épisode et finalement, c'était une bonne idée car on n'avait pas une série pour masturbation d'ado prépubère masi tout simplement une série plus mûre et mature. Avec une vraie intrigue qui reprennait les reines d'un bon cliffangher dans l'épisode précédent, on a eu le droit à pour le coup un épisode rythmé (enfin, je mesure totallement mes mots).
Alors Nick a découvert que Dylan était un vampire, on passe l'épisode entier à nous parler de cette histoire. Alors, dit comme ça, cela pourrait sentir le roussit sauf que non, on se laisse facilement porter par une histoire simpliste qui ne fait pas de vague. C'est très maniéré, on se serait cru dans un bon vieux épisode des Feux de l'Amour, une bonne guerre des familles. C'était sombre, kitch et savoureux à volonté. Je m'en suis délecter d'avance mais là, franchement, je ne fais pas tellement d'éloge mais j'adore. Cette manière facile de faire des scénarios complètement alambiqués et partant dans tous les sens, j'en suis fan. Alors certes ca fait un peu "histoire qui tourne en rond" mais cela ne manquait pas de rythme avec un Nick apeuré entre Dylan qui le menace et le fait qu'on découvre son lien avec la morte.
D'un autre côté, on a Andie qui a découvert dans l'épisode précédent qu'elle était un sucubus, et bien là, on a droit au terrible repli sur soi, enfermement, c'est une partie de la chianlie totalement. On s'ennui à en mourir même si Peg et son remède peuvent nous apporter une bonne réponse. Moi ce que j'aurais adoré c'est qu'elle se transformer mais non, la série fait avec ses malheureux moyens et en pati. Quand à Charlie, il cherche toujours à conquérir sa belle jusqu'à lui acheté des fleurs, mais c'est quoi ce truc, c'est un ado, un gamin, il achète déjà des fleurs à une femme, non mais là, franchement... C'est ABC, alors il faut faire bien. Enfin, la fin de l'épisode me fait penser aux longs monologues de Mary Alice dans Desperate Housewives avec le discours de Nick et des images de tout le monde dans des situations de détresse. Autant dire que ça fonctionne pas du tout, ça fait moralisateur et cul cul à fond.
Note : 5/10. En bref, même s'il semble y avoir un mieux au pays des grilles en fer, on sent que le mystère ne rode pas et que tout est trop blanc comme neige.
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