4 Août 2010
The Gates // Saison 1. Episode 6. Jurisdiction.
Oh tiens, mais depuis l'épisode dernier The Gates se réveille. C'est dingue ça. Quand même ! J'ai presque cru que la série était génial à un moment. Cette semaine, un épisode assez loner puisque c'est au meurtre d'une membre de The Gates qui est assassinée, deux crocs on laissées des traces et Nick va de suite voir Dylan car c'est le seul vampire avec Claire qu'il connaît. Entre histoires de bisous mortels et de cachets, de meurtre sur fond d'histoire de vampires lesbiennes, une histoire de compétition entre les managères pour un évènement annuel : une sorte de foire haut de gamme pour mémère en manque de stéroïdes et de tisanes amincissantes.
Alors, The Gates c'est quand même une histoire qui roule sur une patte et deux à la fois. J'aime bien les personnages mais ils restent trop terre à terre, c'est dommage, ils mériteraient d'être développés. Comme cette histoire entre Andie la sucube et suceuse d'âme et son petit ami Charlie. Elle a été une méchante fi-fille, elle n'a pas voulu prendre ses cachets et elle n'a eu que le retour de monnaie de sa pièce. Rooo... C'est pas bien, tu auras droit à une fessée ce soir. Bien que l'histoire soit intéressante, je ne sais pas, ca reste plat et ça n'avance pas. J'aimerais justement qu'elle se transforme en sucube, ce serait génial de voir un tel créature que l'on ne voit que très rarement dans une série mais non.
Cependant, depuis qu'ils ont mis de côté les loups garous, la série s'améliore, elle n'est plus la série débile pour adolescentes sous pillules voulant une plus grosse poitrine mais une série calme qui avance à son rythme et qui parle de vampires, de sorcières qui font mumusent avec des tisanes et des pentacles, de chamailleries dans le voisinage. Bref, je dis tout ça mais vous avez sûrement l'impression que je n'ai pas aimé, non, j'ai aimé l'épisode car la série arrive à prendre des galons, les intrigues vampiresques avance, on se rapproche de plus en plus de leur révélation aux yeux des Gates. Ce cliffangher final est d'ailleurs une prémise de cette belle révélation. Je suis curieux alors autant l'être jusqu'au bout.
Note : 6/10. En bref, au pays des muffins et du vin de table que l'on appelle Chardonnay, The Gates brasse les petits papiers avec une certaine aisance sympathique à suivre.
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