20 Août 2010
The Hard Times of R.J Berger // Saison 1. Episode 9. It's All About the Hamiltons.
Après un épisode où le vomi était le roi, et bien en voici un ridicule où R.J Berger tente de jouer le rebelle avec le gang de l'école. Alors qu'on croit qu'il prend de la drogue (en fait c'est de l'aspirine à cause de sa gueule de bois). Bref, R.J n'est pas crédible deux secondes en rebelle et l'épisode s'en ressent. Même si j'ai pris ça au centième degré, je sais pas, ca fonctionnait pas. Le pire ? C'était pas drôle. C'est le comble pour une série qui se veut drôle.
Je crois que cette série n'a plus rien à sauver. Alors que l'épisode 3 est le seul épisode potable de la série, depuis, c'est la débandade, rien de bon, que 2-3 scènes drôles et fun qui nous tirent les trais du visage. C'est pas le cas ici. Et pourtant, la série enchaîne les gags mauvais mais pas de mauvais goût pour une fois. C'est lourd et digne des pire comédies américaines, le genre de truc bas de gamme avec des acteurs de second zone et qui sort uniquement en DVD. Et voilà ce qu'est Hard Times, ca ne manque pas forcément de moyens car c'est MTV mais manque de scénaristes à deux mains, l'autre main, vous savez très bien où elle est.
Si Hung est une très bonne série qui sait exploité son pitch, Hard Times n'exploite aucunement son pitch accrocheur, RJ est finalement toujours le même looser, il ne change pas... C'est dingue quoi. Franchement, on nous promet que RJ va devenir le roi du lycée grâce à ce qu'il a dans le pantalon mais au final, non, il est toujours le petit geek fan d'héroïcfantasy, et s'en ai risible au possible. Je sais, je ne peux pas m'identifier aux personnages car ca ne ressemble pas du tout à ce que j'ai vécu donc je ne peux pas aimé. Donc oui, RJ c'est LA daube de l'été et je le redirais à chaque épisode. Pour ceux qui se demande mais pourquoi je m'inflige cette série alors ? Et bien, parce que je reste sur cet épisode 3 qui est pas si mal que ça et j'espère retrouver ça dans cette série mais la saison 2, ce sera sans moi.
Note : 1/10. En bref, catastrophe catastrophe, un épisode pas drôle et avec aucun humour gras, c'est donc aussi sec qu'un rat mort. Aucune saveur.
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