Critiques Séries : Undercovers. Saison 1. Episode 11.

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Undercovers // Saison 1. Episode 11. The Key to it All.


Vous vous souvenez de cette review de Undercovers que j'avais écrite plus tôt dans la saison ? (ici). Et bien, je vais y aller franco aussi avec cet épisode. Je suis de mauvais poil, et ça tombe bien car l'épisode était mauvais comme moi j'ai envie d'en dire du mal. Ca sentait le fromage pas frais, un épisode qu'on annonce comme ça avec un guest qui n'est même pas là ou encore un personnage absent alors qu'il est là pour faire du bien. Moi je dis bien, Undercovers se meurt de plus en plus. Déjà que c'est pas exceptionnel mais alors là.
Où est Leo Nash ? Je l'ai chercher tel Mais où est donc or ni car mais finalement, je ne l'ai pas trouvé. Leo Nash c'est sûrement le seul personnage atout de la série et il n'est pas là pour ce nouvel épisode, un des derniers de la série en plus. Quel malheur. Sans friandise pour passer un bon plat bien gras, moi je suis désolé, mais c'est comme avaler un stylo pour moi : impossible. Sans Leo, ça cabotine, on rigole même pas et aucun truc ne fonctionne (ou presque). Car bien sûr ce n'est pas Gugu en uniforme qui va faire péter la braguette de celui qui regardera l'épisode, il faut savoir être réaliste, non de Dieu.
Où est Alan Dale ? On annonçait l'arrivée de l'acteur dans cet épisode, il jouerait un rôle majeur dans ce qui devrait être le mystère de la saison et au final, piouf, oublié comme un clic clac se referme chaque matin le personnage est où ? J'aimerais bien savoir. Ils l'ont oublié où surtout. A Buenos Aires ? A Tel Aviv ? En Espagne ? Sur une croisière Costa Rica ? J'aime bien l'acteur mais voilà, on ne laisse de côté encore un point qui ne va pas en faveur de ce dernier épisode.
Où est l'action ? Je suis désolé de le dire mais c'était ronflant cet épisode. Ca courait pas vraiment de partout, on avait des scènes de gun fight mais il m'en faut plus. Des combats à mains nus quoi, des trucs plus intéressants. Ce n'est pas la rencontre de cette agent de la CIA et de Steven qui va me faire changer d'avis. Elle est juste là pour dire : regarder pas mon visage, quelque chose plus bas vous intéressera. Histoire de rire : que tous les geeks boutonneux de la pub Fanta d'Elie Semoun regardent cet épisode ! Mais oui, ce serait génial.
Où est la romance ? Le couple Bloom se ramolli. Même pas un regard coquin ou une scène intéressante. Si les mettre dans les bras l'un de l'autre dans une chambre d'hôtel, coupé dans leur élan par un coup de téléphone, c'est bien, je suis Mère Thérésa. Ca puait des pieds tout ça. J'aime bien quand les Bloom prouvent leur amour à la caméra, qu'ils sont bien ensemble. Là je voyais deux glaçons avec stupeur et sans tremblements quoi. Si Undercovers n'émoustille pas plus que ça le téléspectateur. Ca sert vraiment à rien.
Où est Undercovers ? Oui, je viens de penser à ça et je me dis qu'en fais, où est passé la série et surtout où sont passées les bonnes idées. Rien de tel qu'un petit massage shiatsu pour faire passer la pilule après ça. Mais mince, pas de masseuse en vue. Je suis déçu. La scène finale de l'épisode est peut être la seule réjouissance. Elle me rend au moins plus curieux que de voir l'autre patron des Bloom coupé des pommes en quartier et en tablier alors qu'il doit sûrement avoir mieux à faire. Bref, du gâchis de pellicule il y en a ici.

Note : 1/10. En bref, la seule scène finale est le seul point fort de l'épisode. Oui, oui, le seul.

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