Critiques Séries : Fringe. Saison 1. Episodes 15, 16 et 17. (Rerun)

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Fringe // Saison 1. Episode 15. Inner Child.

 

Un épisode assez bizarre. Fringe a son lot de bizarreries quand même et cet épisode en fait partie. Un gamin muet et chauve est retrouvé dans les sous-sols d'un immeuble en phase de démolition. Comment a-til pu survivvre dans cet environnement hostile ? Walter donne des éléments de réponses très intéressants qui rendent bien sûr l'histoire incroyable possible et si vraie qu'on y croirait presque. C'est génial. Et quand on le voit, chauve, on ne peut que repenser à ces mystérieux observateurs.

A la poubelle les belles peintures et tout et tout, non, là on joue la carte sentiments à fond et Olivia s'en improvise même mère de ce jeune enfant qui ne sait pas parler. Il va donner des indices à Olivia sur une enquête qu'elle a en cours sur un meurtrier normal, bien aimé d'avoir intégré la Fringe Division. Ce meurtrier était intéressant sans être une histoire pationnante. Quand on voit la victime, j'ai d'abord penser à un film d'horreur connu : La Maison de Cire mais au final ce n'est pas le cas, pas pour un sou. Bref, il kidnappe, vole le chien... c'est abracadabrantesque et c'était rythmé donc sympathique sans plus. Non, ce qui était intéressant c'était ce gamin.

Un gamin qui fait peur quand même au premier abord. Je ne sais pas vous mais il m'a foutu les ch'tons, vraiment les ch'tons quand il est encore dans ce sous sol délabré. Puis après, à l'hôpital ou quand il est face à Walter qui fait sa petite danse (très drôle by the way) j'ai bien aimé.  On découvre au final qu'on était bien en face d'un autre futur observateur.

 

Note : 7/10. En bref, un épisode émotion sans plus.

 

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Fringe // Saison 1. Episode 16. Unleashed.

 

Avec un début aussi bon et rythmé, j'aurais pu croire que cette grosse bête me ferais plus peur que ça mais finalement, elle ne ressemble à rien d'esthétique et ne fait pas peur pour un sou. C'est dommage car seul l'esthétique de la série est entretenu mais là, le monstre est très décevant. C'est drôlement bête de bâcler un épisode comme ça. Mais voilà, un groupe d'activistes pour la défense des animaux pénètre par effraction dans un laboratoire. Leurs corps sont déchiquetés. Bishop pense à une espèce hybride créée par l'homme : un corps de lion, des griffes d'aigle, des canines de vipères, la peau d'un rhinocéros et une queue de serpent. Olivia et ses 2 complices Walter et Peter doivent alors localiser ce monstre au plus vite avant qu'il ne fasse d'autres victimes.

C'était un épisode tout en doucement, très différent de la mythologie de la série et de ce que l'on voit habituellement. C'est ce que je trouve dommage. On ne fait pas de révélations importantes sur le déroulement de la suite mais il est vrai qu'en saison 1 il est fortement conseillé de ne pas trop en mettre pour éviter de faire peur aux téléspectateurs. Fringe suit cette voie, et elle le fait à merveille mais bon, ce genre d'épisode pourrait largement être mieux, au risque ici d'être drôlement décevant.

Enfin, c'était donc un épisode qui ne surprend pas pour sou et c'est dommage car Fringe nous a habituée à bien mieux, vraiment mieux. Car quand on veut faire peur, il faut jouer la peur jusqu'au bout. Alors certes, on ne voit la bête qu'à la fin de l'épisode et donc, c'est toujours plus fou, on se ronge les ongles de savoir mais qu'est ce que c'est alors au final ?

 

Note : 6/10. En bref, un épisode qui se veut génial mais qui au final est décevant.

 

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Fringe // Saison 1. Episode 17. Bad Dreams.

 

Ah ! En voilà un épisode génial. Plongée en plein sommeil, Olivia est "témoin" d'un suicide à la gare centrale de New York. Et cette scène avec la jeune femme qui est toute seule dans le métro, poussant une poussette, et chantant une jolie chanson. Tout est beau et merveilleux dans ce monde alors qu'au final, scène choquant du pré-générique : elle tente d'attraper un balon et saute sur les rails. Olivia se voit dans son rêve pousser cette jeune femme sur les rails. C'est halucinant quand même cette série et Olivia montre un bout intéressant de sa personnalité que j'adore de plus en plus. Ici, elle est à coeur ouvert.

A coeur ouvert car elle en découvre un peu plus sur son passé avec le corthexiphan, un passé intriguant et intéressant. En tout cas moi je suis très intrigué et j'ai hâte d'en savoir plus avec cet épisode, c'est ce que je me dis. Mais les scènes avec une Olivia dans un restaurant qui se lève, prend la main d'un homme et le dit. C'est dingue quand même. Olivia est un personnage à la fois froid et charmant, elle ne sait plus sur quel pied dansé mais qu'est ce que c'est kiffant.

Par ailleurs, le fait que l'on découvre un peu plus de chose sur le passé des personnages, que l'on découvre un autre personnage fou, c'est géant. La série arrive franchement à surprendre sur un pied dansant entraînant. J'aime bien, après il faut que la série sâche confirmer ce statut de winneuse invétérer et ne pas tomber dans les loner sans grand intérêts dont cette saison est composée pour le moment (2 épisodes en tout, côté loner pas terrible).

 

Note : 8/10. En bref, un bon épisode qui nous plonge totalement dans une intrigue farfelue.

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