26 Janvier 2010
Alors, ça, c'est ce que l'on appelle de l'épisode. Même si les audiences ne sont pas au beau fixe, la série arrive toujours à nous surprendre et ici, avec une infection datant de l'âge de l'extinction de la vie il y a 15 000 ans. Loin d'être une série racoleuse, ce nouvel épisode est une vraie révélation. Loin des clichés qu'il aurait pu subir, on assiste à du grand spectacle à huit clos, du spécialement fait pour Fringe. Si Walter se révèle grand sentimental dans cet épisode, sa relation amicale avec son assistante n'empathie pas, et ce duo fonctionne à merveille. Tout démarre, on suit un homme qui semble pressé, qui rentre dans un immeuble, qui semble clostrophobe, qui arrive à l'étage, qui s'évanoui sur le sol, ... bon, je ne vais pas passer mon temps à vous raconter l'épisode mais plutôt mon ressenti. Suite au fait que l'on découvre que c'est une infection qui risque de causer la fin de l'humanité, car oui, c'est vraiment flippant cette histoire de virus, Olivia et Peter son bloqué dans l'immeuble. Avant que l'on découvre d'où vient la source infectieuse et qu'est ce qui tue tous ces gens, qui deviennent fou et ne demande qu'à s'échapper, encore une fois, ce virus nous met vraiment sous tension et ça, j'adore quand Fringe fait ça et que dès qu'on sait rien, paf, le générique que j'adore plus que tout.
Note : 9/10. En bref, encore un épisode sous tension qu'il est adorable d'adorer avec tout les ingrédients pour que la sauce nous prenne au trippes, un épisode à suivre !
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