26 Mars 2022
Grey’s Anatomy // Saison 18. Episode 13. Put the Squeeze on Me.
Après les dernières émotions vécues dans des épisodes de Grey’s Anatomy, cette semaine la série nous offre quelque chose de très léger (en dehors du fait qu’Owen peut enfin remarcher). Il y a d’ailleurs un cas médical autour d’une histoire de python. C’est fun, amusant, comme ce que l’on est en droit d’attendre de Grey’s Anatomy quand elle ne veut plus se prendre la tête. Cela permet de s’ajouter aux développements personnels que la série nous offre en parallèle. Meredith se retrouve entre une offre d’emploi et une évolution drastique de sa relation avec Nick, Link a peu enfin parler à Amelia et le baiser de Bailey et Wright permet enfin d’aller de l’avant autour de ces deux là. Il y a des personnages qui sont vraiment sous exploités dans Grey’s Anatomy et les scénaristes sont peut-être en train de s’en rendre compte. Anthony Hill en fait partie. Dans le rôle de Winston il est parfait et je trouve ça dommage que la série ne lui donne pas plus de place.
L’affaire du python était vraiment amusante et me rappelle les bonnes heures de Grey’s Anatomy quand celle-ci délivrait des cas de la semaine inspirés. Je n’en attendais pas moins de sa part. En plus de ça, la plupart des personnages ne savent pas comment gérer cette affaire ce qui la rend encore plus palpitante. Ce n’est pas souvent que l’on voit un python autour du corps de quelqu’un. La scène est assez spectaculaire et créée à la fois quelque chose de divertissant et fun. Cela pourrait peut-être permettre aux gens de comprendre qu’un python ce n’est pas vraiment un animal domestique. Bailey de son côté est amusante elle aussi, ce qui est une assez bonne chose. C’est dans ce genre de situations que Grey’s Anatomy est bien plus à l’aise. Ou alors dans l’émotion. Mais il n’y a jamais vraiment d’entre deux et c’est bien là le problème.
Je m’attendais à quelque chose de complètement différent, peut-être de plus percutant mais il y a tous les éléments que j’aime dans Grey’s Anatomy. Même l’histoire d’Owen est touchante grâce à un très beau monologue de Kim Raver. Cette dernière, quand elle a la matière, elle peut délivrer quelque chose de bien aussi. Je n’ai pas spécialement envie de voir le reste de la saison stagner autant dans quelque chose qui n’évolue pas grandement mais il y a suffisamment de bons trucs pour que l’on passe un bon moment donc je ne vais pas bouder mon plaisir.
Note : 6/10. En bref, du Grey’s Anatomy fun et efficace comme on peut l’espérer.
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