Critiques Séries : Pretty Little Liars. Saison 1. Episode 9.

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Pretty Little Liars // Saison 1. Episode 9. The Perfect Storm.

 

A pays des Ken apprivoisé qui savent jouer au basket et jouer de la guitare et des Barbie qui sont harcelée par une mystérieuse autre Barbie du doux nom de A. Alors A, c'est quoi, une note d'examen, le meilleur de la classe ou encore "anonyme" ? Humm... le cliffangher digne d'une série des années 80 de la fin de l'épisode peut vraiment nous laisser pencher pour cette dernière proposition, finalement A ce n'est peut être pas "Alison" mais un maître chanteur "anonyme" ? C'est à n'y plus rien comprendre mais je suis toujours à fond au rayon des produits de beauté et des ongles manucurés.
Alors que son diluant pour les ongles est tombé et s'est brisé lors de la tempête, Emily va devoir révélée sa bissexualité bien développée dans l'épisode. Alors je regrette quand même un peu qu'on nous sorte un épisodes assorti de flashback d'Alison dans cette position car c'était assez ennuyant au final. Ainsi, on s'ennui avec ce personnage qui est au final assez lent et n'apporte rien, mais alors rien du tout à l'histoire pour le moment. Autre info au rayon magazine presse du soir désormais c'est Toby Cavanaugh qui ne serait finalement pas mort. No way ! J'y croyais dur comme fer à sa mort moi, ils me déçoivent grandement. Pour finir avec Emily, ce face à face avec l'inspecteur qui découvre les statuettes du mémorial d'Alison dans son sac à main, mais alors là, j'ai pouffé de rire.
Bon, encore heureux que Hanna est là pour nous jouer la médiatrice de l'émission, ça me rappelle l'émission de TF1 "La guerre des voisins". Avec son ex copine de kleptomanie ce n'est plus l'âge de l'amitié. "Va demander un coeur au magicien d'Oz, et tac". Voilà le genre de réplique que l'on y entend. C'est tellement tordant que je suis sur le pied de guerre et je me dis : au final, Pretty Little Liars c'est drôle à défaut d'être ennuyeuse parfois. On trouve toujours un petit truc à dire... Moi j'adore.
Et puis alors Aria. Son prof l'aime toujours, il n'a pas arrêter de penser à elle et tout et tout... Que c'est mignon. Sauf que Aria semble se rapprocher d'un nouveau gars. Alors c'est la Ken qui se révèle être gay au final. Il a en tout cas des atouts sympathiques, le Ken de Pretty Little Liars qui sait jouer de la guitare. Je sais pas que Ken avait cette option vendue séparément. Il va falloir qu'ils en fasse la pub et qu'ils ajoutent cette option dès que possible. Je le critique beaucoup mais au final je l'aime bien. C'est assez contradiction non ?

Note : 6/10. En bref, pas de bec, pas d'ongles, juste un orage qui fait rage et arrive au final à réussir un épisode huit clos.

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