Critiques Séries : Pretty Little Liars: Original Sin. Saison 1. Episodes 6 et 7.

Critiques Séries : Pretty Little Liars: Original Sin. Saison 1. Episodes 6 et 7.

Pretty Little Liars: Original Sin // Saison 1. Episodes 6 et 7. Chapter Six: Scars / Chapter Seven: Carnival of Souls.

 

Au fil des épisodes, Pretty Little Liars: Original Sin a su se révéler un peu plus percutante. En s’inspirant certes de ses influences horrifiques mais également en s’affranchissant en grande partie de la série originale pour mieux nous surprendre. Il y a dans ces deux épisodes une référence à Riverdale. Le créateur de Pretty Little Liars: Original Sin a d’ailleurs indiqué que c’était un clin d’oeil. Pas sûr que ce genre de choses m’excite plus que ça, car l’idée de retrouver les deux séries dans le même univers me donne l’impression qu’il va vouloir intégrer du surnaturel et on sait ce que cela avait donné avec Ravenswood. Quoi qu’il en soit, ces deux épisodes fonctionnent et font évoluer l’intrigue petit à petit. En nous rapprochant à vitesse grand V du mystère autour de ce tueur masqué, Mr A. Imogen, Tabby, Faran, Noa et Mouse tentent de leur côté d’en découvrir plus sur Angela Waters. Tout cela va permettre aux personnages principaux de grandir un peu plus alors que cela permet de faire évoluer leurs vies personnelles.

 

Ce que l’on apprend c’est que leurs mères leur ont caché pas mal de choses mais Pretty Little Liars: Original Sin ne serait pas Pretty Little Liars: Original Sin sans tout un tas de petits secrets. Si parfois je trouve que Pretty Little Liars: Original Sin est un peu longue à la détente, le ton relativement sombre qui est donné à cette saison ne me déplaît pas. Imogen et Tabby apportent quant à elles un angle un peu plus émotionnel à l’épisode. Ce n’est pas parfait mais cela permet aussi d’approfondir les personnages et les liens qu’ils entretiennent. Pretty Little Liars: Original Sin a su construire un groupe de personnages au fil des épisodes et ils apprennent à se connaître en même temps que nous apprenons aussi à la connaître. Cela change de la série originale et c’est presque plus palpitant. On apprend aussi que Angela a été violée avant qu’elle ne décède. Toute cette histoire de Black Swan n’est pas spécialement palpitante et tire un peu trop en longueur l’épisode.

 

Roberto Aguirre-Sacasa et Lindsay Calhoon Bring ont pas mal d’idées ici et là et l’on retrouve certaines ambiances vues dans leurs précédentes séries mais je n’ai pas spécialement envie de voir l’ensemble tourner en rond. Il y a aussi Steve que je trouve assez étrange alors que la vie de Mouse semble menacée par lui. C’est un mystère et comme dans la série originale, Pretty Little Liars: Original Sin sait plutôt bien les entretenir. C’est dans l’épisode 7 que les choses prennent un tournant un peu plus drastique pour Faran et Mouse alors qu’ils se retrouvent dans une situation différente de celle qu’ils avaient imaginé au premier abord. En sortant un peu les personnages de la mécanique que Pretty Little Liars: Original Sin a installé depuis ses débuts, elle parvient à délivrer quelque chose de plus intéressant. Ce n’est pas parfait mais il y a énormément d’idées qui fonctionnent et apportent encore plus de pertinence au récit. Pretty Little Liars: Original Sin a su se détacher de la série originale tout en intégrant ses éléments les plus distincts.

 

Note : 5.5/10. En bref, Pretty Little Liars: Original Sin continue de s’améliorer même si certains moments sont moins palpitants que d’autres et tirent un peu en longueur.

Prochainement en France

 

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