Critiques Séries : Chicago Fire. Saison 1. Episode 18.

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Chicago Fire // Saison 1. Episode 18. Fireworks.


Je n'ai jamais été vraiment convaincu par Treat Williams dans Chicago Fire. BIen que j'étais content de voir le père de Kelly, je trouve que ce n'était pas le meilleur acteur possible pour le rôle. Je suis certain qu'il y a des acteurs moins connus que lui bien meilleur pour jouer les pères disparus de retour. C'est pourquoi j'ai trouvé cet épisode assez en deçà de mes espérances vis à vis de Chicago Fire. C'est une série que j'aime bien mais disons que Benny Severide n'a jamais été le personnage le plus passionnant jusque là. La seule bonne chose qui est ressorti de cette histoire c'est bien évidemment le développement du personnage de Peter Mills qui en découle. En effet, Peter Mills (mon personnage préféré de Chicago Fire) avait enfin droit à un épisode un peu plus centré sur lui et ses petites histoires personnelles. Peter veut en savoir un peu plus sur son père et c'est pourquoi il se tourne vers Benny. Sauf que ce n'est pas du goût de Boden. Surtout quand Benny décide de dire à Peter toute la vérité sur son père. C'était presque touchant mais Treat Williams reste le gros problème de cette histoire dans l'épisode. Dommage.

J'aurais tellement aimé que le poing dans la figure de Benny soit plus punchy, qu'il y a quelque chose qui nous dise que la série a envie de faire mal à ses personnages. Je suis un peu sadique mais c'est aussi un peu le cas de tout téléspectateur. Chacun veut voir ses personnages en difficulté. Et c'est aussi pour cela que je les apprécie tous autant qu'ils sont. Enfin, sauf Benny Severide. En plus de ça, l'acteur a le mauvais rôle dans cette histoire. Il est aussi tête à claque que dans White Collar (où il incarnait également un rôle de père paumé qui ne fait que planter des couteaux dans le dos des autres). De son côté, Shay commence à rechercher des donneurs de sperme potentiel afin qu'elle puisse enfin accéder à son rêve de devenir maman. Elle va alors demander à Severide s'il ne veut pas lui donner de sa semence étant donné qu'il a de bons gênes. Et qu'ils sont aussi grands amis. Cette histoire manque peut être de finesse et d'émotions. Je trouve que Shay est un personnage qui méritait quelque chose de bien plus larmoyant dans le sens où elle a tout perdu d'un coup dans un précédent épisode.
chicago-fire-peter-mills-season-1.pngPendant ce temps, la relation entre Peter et Dawson fonctionne comme sur des roulettes. C'est tendre comme du beurre et moi je trouve ça tellement mignon que j'aurais envie de les féliciter en personne en les serrant dans mes bras. C'est même l'un des atouts de cet épisode. En plus bien évidemment de Charlie Barnett qui, dans le rôle de Peter Mills, en met plein la vue du téléspectateur. Enfin, Heather et Casey, encore une histoire qui prend l'eau ou bien dont il ne faut pas attendre grand chose. L'épisode s'ennui donc nous aussi c'est dommage. Chicago Fire continue donc de parler des personnages et de leur côté plus émotionnel. Sauf que cette semaine, Benny Severide casse complètement le délire et le téléspectateur se retrouve alors face à un épisode un tantinet en dessous. C'est dommage car j'aime bien cette série, et aussi Peter Mills, et les interventions n'étaient pas trop mauvaises (bien que cela soit très anecdotique et accessoire). Il fallait ajouter un peu plus de punch (peut être dans une bagarre entre Peter et Benny sauf que cela ne prend pas et que tout est arrêté à temps).

Note : 4/10. En bref, un tantinet décevant. Trop porté sur Benny Severide, personnage détestable et ennuyeux.

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