Critiques Séries : American Horror Story : 1984. Saison 9. Episode 3.

Critiques Séries : American Horror Story : 1984. Saison 9. Episode 3.

American Horror Story : 1984 // Saison 9. Episode 3. Slashdance.


Je dois avouer que cet épisode de American Horror Story : 1984 était excellent. Il délivre pas mal de twists et fait aussi des révélations intéressantes qui vont permettre à la série d’aller de l’avant. Dans cet épisode, American Horror Story : 1984 a un personnage qui insiste sur le fait qu’il n’y a pas de mauvaises personnes ou de gens qui ont fait des mauvaises choses qui ne peuvent pas être lavés de leurs péchés. Et ce personnage va aider Mr Jingles à s’évader et recommencer à tuer des gens au Camp Redwood. Elle va également kidnapper une jeune femme avant de voler son identité.

Ce que cet épisode nous révèle est important car cela permet de comprendre l’épisode précédent et pourquoi FakeRita n’a pas été trop charcutée par le tueur en série complètement fou qui habituellement est efficace pour tuer. Ce n’est pas exactement le fait que FakeRita soit une psychopathe qui est le meilleur rebondissement de la soirée, mais plutôt ce qui est à la base de son expérience et son raisonnement insensé. Elle a parlé aux plus célèbres des tueurs en série, leur a permis de s’ouvrir de manière nouvelle et excitante et pour elle, ce qui pourrait permettre d’arrêter ces tueurs c’est de leur donner une chance de tuer à nouveau ?

Mais ce n’est pas le seul twist de cet épisode. Cet épisode nous en révèle un peu plus sur Ray. Le flashback de Ray était presque trop simple au premier abord mais il fallait bien s’attarder sur lui étant donné qu’il se fait décapiter sur sa moto à la fin de l’épisode. La scène, gore à souhait, est amusante et donnerait presque envie de voir cet épisode en 3D rien que pour imaginer la tête qui vole dans les airs. Ray révèle dans cet épisode qu’il a toujours été un grand lâche et qu’il est prêt à tout pour sauver sa propre peau, même jeter quelqu’un dans un ravin en croyant qu’il était mort (alors qu’il était encore en vie).

Le fait que cet épisode soit écrit par James Wong (créateur de Destination Finale) n’est pas anodin  sur la façon dont les gens meurent dans cet épisode. Il y a quelque chose qui ressemble énormément au style de Destination Finale (la décapitation sur la moto, la rame embrochée dans la vraie Rita). C’est pile poil aussi ce que je viens chercher dans une série d’horreur comme celle-ci.

Enfin, l’autre twist de la soirée c’est Montana et son amour satanique. On ne sait pas encore si c’est Brooke ou Margaret qu’elle veut faire tuer, mais je suis sûr que le prochain épisode devrait nous en dire plus au détour d’un flashback si American Horror Story : 1984 compte nous le dire rapidement.

Note : 9/10. En bref, du American Horror Story comme je l’aime avec son lot de twists tordus et réussis.

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