The Nine Lives of Chloe King // Saison 1. Episode 6. Nothing Compares 2 U.

C'est avec de plus en plus de mal que je poursuis mon aventure avec cette série. De toute façon, vu les mauvaises audiences, elle n'aura probablement jamais de suite donc je vais tenter jusqu'au dernier des 10 épisodes que composent cette première saison. Et encore un coup, la mère de Chloe et Brian prennent une importance sans nom dans l'épisode. Alors certes, c'était moins ennuyeux que l'épisode précédent mais quand même, j'ai failli m'endormir au début. L'épisode met du temps à démarrer, et ce n'est pas la petite scène de saut à chat avec Paul qui va sauver ni l'intrigue ni son développé. Ce n'est pas Jonah et Amy qui jouent aux cartes qui va sauver l'épisode. Loin de là. Je suis vraiment déçu du développement de la meilleure amie de Chloe, elle ne sert à rien et ses histoires sont vraiment ennuyeuses.

Et justement, le poker pouvait être une intrigue potentiellement intéressante si seulement on nous l'avait pas sortie il y a deux semaines dans Switched at Birth. Du côté de la mère de Chloe, elle s'est trouvée un nouveau rendez-vous galant. C'est tout ce qu'il y a de plus guindé. Franchement, sérieusement, ça dans une série d'ado. On va au resto, un truc hyper romantique chic et on s'y ennui ? C'est là le topo ? Malheureusement c'est bel et bien le cas. Encore une fois je reste déçu. Le rapprochement d'Alek et Mimi est encore un pied de nez à l'inutilité de l'intrigue Amy/Alek qui se profilait. Un truc à la Pushing Daisies quoi (en cheap et mal écrit certes). J'aurais tellement aimé que ce soit possible mais non. Alors après, on a la mise en danger d'Amy avec Jonah, un truc d'action sympatoche. Mais c'est survolé (il faut que tout bouge à seulement 10 minutes de la fin ? J'en ai bien peur).
Et pendant ce temps, Chloe est tout excitée par son rendez vous avec Brian lors d'un évènement d'une exposition d'art. Mais c'est que c'est bête tout ça. Car l'ennui est là. C'est bien beau de nous jouer les ralentis encore lors du croisement des regards des deux personnages mais voilà. Le ridicule ne trompe pas. Les parents de Brian avec le père tout (trop) bronzé façon safran, c'était encore inutile. Il n'y aucune tension. Toutes les scènes potentiellement intéressantes ne prennent que 1/3 d'un épisode. C'est pas avec ça que je vais être rassasier. Voilà une série qui nous prend pour des débiles mentaux, ne pouvant pas savoir qu'il y a des gens qui veulent du divertissement pas un somnifère.

Note : 3/10. En bref, un épisode qui manque d'attractions. Toujours aussi lent et bavard pour rien. Raté.