Critiques Séries : Bored to Death. Saison 3. Episode 7.

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Bored to Death // Saison 3. Episode 7. Forget the Herring.


Bored to Death est une très bonne dramédie. Je ne sais pas si vous la connaissez mais elle mérite le coup d'oeil. Récemment, j'ai lu l'avis de quelqu'un qui disait que c'était la petite série dont il oubliait chaque année la présence et qui le surprenait à chaque fois en la redécouvrant. Et c'est un peu ça finalement car chaque saison de Bored to Death propose de changer quelques chose dans l'univers même de la série. On est déjà à l'avant dernier épisode de la saison, et le temps passe vraiment trop vite. Cependant, je ne suis pas déçu de la tournure des évènements, surtout que chaque nouvelle saison de cette série arrive à être meilleure que la précédente. Donc effectivement, la saison 3 est pour le moment la meilleure de toute - je me réserve le droit de changer d'avis si jamais le season finale n'est pas du tout à la hauteur ou si HBO annule la série et ne donne donc pas plus de chance à la série -.

Dans cet avant dernier épisode on place donc l'intrigue du dernier et surtout le début de la résolution du cas de la saison : celui du père de Jonathan. L'annonce au début de la saison avait fait l'effet d'une bombe dans la tête de Jonathan. L'idée est donc de lui faire rencontrer son père, enfin. La fin de l'histoire est assez saugrenue finalement car c'est le gérant de la banque de sperme qui est son père. En effet, ce dernier était le seul à faire des dons de sperme afin de faire des économies en tout genre. Rose Hiney est donc sur le coup avec Jonathan. Cette dernière incarnée par une Isla Fisher excellente - cela change un peu des blagues finlandaises dans Confessions d'une Accro au Shopping -. Cet épisode ne fait donc qu'être bon avec ce duo presque improbable mais qui au fond va faire quelques étincelles. Une réussite sur patte.
vlcsnap-2011-11-20-20h42m49s114.pngL'autre partie de l'épisode s'intéresse à George et Ray qui tentent de réparer leurs tords respectif. Le premier va enfin chanter dans l'épisode dans une scène presque ridicule mais donnant le ton de la série. Au final on en ressort avec la bouche béate. Je m'attendais pas du tout à ce que l'on voit réellement George chanter puisqu'il a certes pratiquer ses gargarismes avec sa prof de chant, mais plus dans un lit que dans une salle de cours de chant autour d'un piano… à queue. Estimez bien ce genre de blague qui veut en dire… long. J'arrête. Ray quant à lui est sur le chemin de la rédemption avec les femmes et a déjà les ébauches de son nouveau comic. Au final, ce nouvel épisode s'apparente comme une bulle d'oxygène. C'est savoureux, bon, et câlin à la fois. Une série comme ça c'est unique et à consommer sans aucune modération.

Note : 7.5/10. En bref, un peu moins fou que le précédent mais tout aussi sympathique, nos 3 amis nous livrent toujours et toujours cette quête insaisissable qui fait leur force.

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