Critique Ciné : Harry Potter et les reliques de la mort

Dans ma boîte mail hier soir j'ai trouvé une critique du dernier volet d'Harry Potter qu'un(e) très fidèle lecteur(rice) a écrit dans le but que je la publie (ou pas). Je suis très heureux de publié cette critique d'un(e) anonyme. Je tiens par ailleurs à préciser que je n'ai pas encore vu ce nouveau volet d'Harry Potter à l'heure de la publication de cette critique et que par la publication de celle ci, je n'en écrirais sûrement pas (à moins d'un ras de marée de demande).

Harry Potter et les reliques de la mort // De David Yates. Avec Daniel Radcliffe, Rupert Grint et Emma Watson.

Harry Potter et les reliques de la Mort..., en rentrant dans la salle de cinéma je restais dubitatif, un fan du petit sorcier de lite whinging tel que moi ne voulais plus se laisser abuser par la Warner, qui depuis 2001, nous abreuvaient de produit dérivé pour moldu sans magie ni saveur.
Comme toujours  (depuis 6 films) je pousse la porte de ma petite salle de quartier et me prépare mentalement à l’aide de quelques phrases passe partout : « bon ils peuvent pas faire pire que les précédents », « le jeu des acteurs n’a put que murir », « normalement les effets spéciaux doivent être sympas » et enfin : « toute façon, il est difficile d’adapter un livre sur le grand écran »…. Les lumières se tamisent et le film commencent …Et la j’avoue m’être trompé, David Yates est un sorcier du septième art. Le film n’est pas grandiose, il permet juste au fan du sorcier le plus emblématique de grande Bretagne de passer un bon moment. Le film est fidèle sans trop l’être au livre, no trop long (malgré ses 2h25) ni trop court il nous propulse dans notre le monde de Poudlard et autres hypogriffes sans que l’on ne souffre nullement de Nostalgie. Ont y retrouve la noirceur du livre, si importante pour mettre en lumière les exploits de nos trois héros qui dans une déferlante d’effet spéciaux nous guident baguette à la main dans leur monde. Mieux que ca, le film va jusqu’à combler les lacunes des réfractaire à ces merveilleux livres de chevet en présentant des personnages, dont nous aurions dut faire la connaissance depuis bien longtemps. Des différences existent par rapport au livre mais reste des détails d’importance moindre et sont rattrapé de justesse par des scènes d’action aussi rebondissantes qu’endiablantes.
Mettons nous quand même d’accord, le jeu de rôle que s’impose nos 3 gaillards atteint du syndrome de Peter Pan laisse à désirer, qui pourrais les en blâmer car il parait bien difficile malgré le maquillage de paraitre plus jeune devant l’objectif. Emma Watson reste quand même époustouflante dans son rôle de la studieuse et courageuse petite sorcière prête à tous pour protéger ceux qu’elle aime et défendre ce qu’elle croit juste. Daniel Radcliffe lui reste le même, perdu dans son rôle d’élue et insipide sans le soutient de ses amis, tous prêt à se sacrifier pour lui. Daniel aurais peut être dut laisser la cape (d’invisibilité) à un autre à la fin du 3eme film et retourner vers le dieux des chevaux sur les planches du théâtre car apparemment il y excelle. Enfin Rupert Grint, du haut de ses 1m78 qui malgré une ressemblance avec le dernier des garçons Weasley reste sur l’impression fait dans les films précédent : trop bon, trop grand, trop horripilant, il tente durant tout le film de se montrer et de trouver sa place  la différence du personnage que celui-ci y arrive, il trouvera quand même un meilleur jeux sur la deuxième partie après une absence qui nous aura permis de respirer. Malgré tous ca c’est les défauts de ses acteurs tout autant que les défauts de ses personnages qui les rendent attachant et si les acteurs sont imparfaits leurs rôles l’est aussi et les rendent presque humains.
La critique que je ferais donc sera encore positive car le plus important est la phrase prononcé à voix haute par l’ensemble de la salle quand les projecteurs se sont rassemblé, je cite « fais chier va falloir attendre 6 mois avant de voir la suite , ca va être long… »

Note 7/10 : un bon film pour ceux qui ont déjà lue le livre.
                   Moldusement.
Buckenium