30 Mars 2025
The Equalizer (2021) // Saison 5. Episode 13. A Few Good Women.
La série The Equalizer ne cesse de me surprendre avec sa cinquième saison, et cet épisode 13 est une belle illustration de ce que j’aime dans ce show. Robyn McCall, toujours aussi captivante sous les traits de Queen Latifah, se lance dans une mission où une soldate disparait après avoir voulu dénoncer un projet militaire secret, mettant sa vie en danger. Pendant ce temps, Dante fait un choix de carrière pour se rapprocher de Robyn et de sa famille, une décision qui apporte une touche personnelle bienvenue.
Entre l’action bien rythmée, les relations qui évoluent et une héroïne qui reste fidèle à elle-même, cet épisode m’a conquis. Voici pourquoi il mérite qu’on s’y attarde. L’histoire de cet épisode 13, c’est du The Equalizer pur jus : une soldate en fuite, un secret militaire à dévoiler, et Robyn qui entre en scène pour rétablir la justice. Même si le schéma reste classique pour une série procédurale, il y a quelque chose dans la mise en scène qui accroche. Peut-être est-ce la tension qui monte crescendo, ou la façon dont Robyn utilise son expérience pour déjouer les obstacles.
Ça me rappelle un peu l’épisode 5 de la saison 4, où elle affrontait un ancien collègue de la CIA – sauf qu’ici, l’enjeu touche une corde plus universelle, celle du courage face à l’injustice. Pas de chichis, pas de détours inutiles : l’intrigue va droit au but, et ça fonctionne. Ce que j’aime particulièrement, c’est voir Robyn en action. Elle ne se contente pas de jouer les gros bras ; elle réfléchit, anticipe, et protège avec une assurance qui la rend unique. Pour moi, c’est cette intelligence dans son approche qui élève la série au-dessus du lot. Cet épisode le prouve une fois encore : Robyn McCall, c’est une héroïne qu’on n’oublie pas.
Et puis, il y a Robyn et Dante. Après quatre saisons à tourner autour du pot, leur relation prend enfin une tournure intéressante. Dante, ce flic droit dans ses bottes, décide de réorienter sa carrière pour être plus proche de Robyn et de sa famille. Ça m’a touché, ce geste. Ça montre un côté plus humain, plus fragile chez lui, et ça change de son rôle habituel de partenaire stoïque. Leur complicité, discrète mais évidente, ajoute une chaleur qui contraste avec l’action. Comparé à l’épisode 8 de la saison 3, où on sentait déjà une étincelle entre eux, cet épisode 13 passe à la vitesse supérieure.
J’espère vraiment que les scénaristes vont creuser ça dans les prochains épisodes – ce duo a tellement de potentiel ! Impossible de parler de cet épisode sans évoquer Delilah, la fille de Robyn. Elle n’est pas au centre de l’action cette fois-ci, mais elle reste un fil conducteur qui me plaît. Entre ses rêves d’avenir et ce qu’elle apprend de sa mère, elle apporte une touche d’émotion sincère. Et c’est là que The Equalizer marque des points : les femmes ne sont pas des faire-valoir. Que ce soit Robyn, Delilah, Tante Vi ou même cette soldate au cœur de l’intrigue, elles portent l’histoire avec force.
J’adore cette constance dans la série – ça change des clichés habituels, et ça donne envie de voir ces personnages grandir encore. Soyons honnêtes : The Equalizer ne réinvente pas la roue des séries procédurales. Mais ce n’est pas ce que je lui demande. Ce que je veux, c’est une soirée sympa, avec du suspense, des personnages attachants et une héroïne qui en impose – et cet épisode 13 coche toutes les cases. Le danger est là, bien dosé, et même si on devine un peu la fin, le chemin pour y arriver reste prenant. Par rapport aux débuts hésitants de la saison 1, la série a trouvé son rythme, et ça se sent.
C’est simple, efficace, et franchement, que demander de plus pour décompresser après une longue journée ? Pour moi, cet épisode 13, c’est The Equalizer à son meilleur : une mission qui tient en haleine, des relations qui avancent, et une Robyn McCall qui reste cette figure inspirante qu’on aime suivre. Elle n’est pas juste une justicière ; elle est une femme avec des failles, une mère, une amie, et ça la rend tellement réelle. Après cinq saisons, la série continue de me parler, et cet épisode en est la preuve.
Note : 6.5/10. En bref, un épisode qui illustre une fois de plus tous les points forts de The Equalizer.
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